Les neuf phases du deuil goldmanien
Essais
Murmures et cicatrices
Jean-Jacques Goldman a-t-il déjà écrit sur la mort ? Officiellement, rarement. Mais si l’on élargit le champ du deuil au-delà de la disparition physique - à la perte d’un amour, d’une relation, d’un rêve, ou même d’une part de soi - alors son œuvre entière devient un grand laboratoire du manque. C’est un deuil en sourdine, sans pathos, sans larmes faciles, mais habité d’ombres discrètes, d’absents qui persistent, de ruptures irréversibles et de souvenirs qui font mal.
Il y a bien sûr quelques chansons explicitement funéraires ("Vole", bouleversant adieu à une enfant malade, ou "Tu manques", confession suspendue où l’absence devient matière) mais la majorité des textes de Jean-Jacques Goldman abordent la perte par un biais détourné : celui de l’absence aimée, du silence entre deux êtres, de ce qu’il reste après. Chez lui, la mort n’est pas un sujet : c’est une ombre portée. Le deuil se dit à voix basse, dans les interstices du quotidien, dans la pudeur d’un souvenir qui refuse de mourir.
À partir des étapes classiques du deuil, enrichies de deux phases supplémentaires propres à l’univers goldmanien, nous proposons ici une cartographie intime du deuil selon Jean-Jacques Goldman.
Ces neuf phases du deuil goldmanien ne forment pas une succession ordonnée, mais un mouvement spiralé : on ne les traverse pas, on y revient. Certaines chansons oscillent entre deux étapes, certaines les contiennent toutes. Car chez Goldman, le deuil n’est pas une destination. C’est un état d’humanité. Il est ce qu’il reste quand les mots ne suffisent plus, quand le temps se tait et que seule la musique, doucement, continue de respirer.
SOMMAIRE
Murmures et cicatrices
1. Le choc de l’irréel
2. Le déni : "J’avais cru si fort…"
3. La colère de l’injustice
4. La douleur de l’absence
5. La culpabilité du marchandage
6. La résignation du réel
7. Le pardon du temps
8. La transmission
9. L’éternité du lien
Le chant qui continue
📺 Jean-Jacques Goldman : Confidentiel (Demain c'est dimanche, Antenne 2, 09 novembre 1985)
Sources
1. Le choc de l’irréel
Moment suspendu où la perte n’a pas encore de forme. C’est le vide, la sidération, la stupeur. Une scène figée, un temps qui se dilate. Il n’y a pas encore de mots pour nommer la douleur, alors tout devient silence.
Chez Jean-Jacques Goldman, ce choc n’est jamais crié. Il n’explose pas, il s’étouffe. L’émotion se replie à l’intérieur comme une onde sourde. Le drame, chez lui, n’est pas spectaculaire : il est feutré, presque pudique. C’est une douleur qui se dissimule derrière les gestes ordinaires, un effondrement qu’on cache sous les apparences.
Dans "Tu manques", le manque ne se dit pas, il s’infiltre. Tout est dans l’ellipse, dans le non-dit : "Coule la pluie, cheveux et veste / Mouille ce qui ne pleure pas." (01) L’absence n’est pas encore nommée, elle se devine dans cette tension entre ce qui devrait pleurer et ce qui ne le peut pas. Le choc, ici, c’est précisément cela : la distance entre la douleur ressentie et l’incapacité à l’exprimer. Rien ne pleure, mais tout pleure.
Goldman dira plus tard, à propos de "J’en rêve encore" (02), comme s’il décrivait la première montée du vide : "C’est quelqu’un qui essaie de se débarrasser d’une idée, d’une pensée, qui ne veut pas se laisser abandonner." (03). Cette phrase pourrait servir d’épitaphe à toutes ses pertes : l’impossibilité de se défaire de la pensée, du souvenir, du fantôme de l’autre.
Dans "Après toi", le texte prolonge cette désorientation absolue : "Et là, moi, je fais quoi / Après toi ?" (04) Le monde continue, mais l’être aimant, lui, reste suspendu dans le vide du départ. Goldman, pudique, ne se plaint pas. Il ne hurle pas. Il ne hurle pas. Il ne tombe pas. Il écrit : "J’ai beau me dire qu’il faut du temps." (05) L’écriture devient tentative d’équilibre, un effort pour rester debout au cœur du tremblement.
Dans une interview, il lâche, telle une justification : "On sait que c'est notre monde et on ne sait pas pourquoi. C’est difficile de dire." (06). Dire, ce serait déjà comprendre. Or, Goldman ne décrit jamais la douleur au présent. Il l’effleure de loin, comme si le langage ne pouvait que la trahir. Le choc goldmanien est ainsi moins un cri qu’un silence.
2. Le déni : "J’avais cru si fort…
Refus de croire à l’irréversibilité de la perte. Non pas un déni naïf, mais une tentative désespérée de contester l’évidence. On sait que c’est fini, mais on ne peut s’y résoudre. C’est le moment où la conscience vacille : on n’est plus dans l’amour, mais pas encore dans le deuil.
Chez Goldman, le déni s’incarne dans une résistance intime, dans la volonté de continuer à croire à ce qui n’est plus. "Quoi que je fasse, où que je sois, rien ne t’efface, je pense à toi." Dans "Pas toi", l’irrationnel devient prière : "Et quoi que j’apprenne, je ne sais pas pourquoi je saigne et pas toi." La raison est impuissante face au sentiment. Dans "Je sais pas" (07), le refus prend la forme d’un paradoxe : "Je sais les hivers, je sais le froid / Mais la vie sans toi, je sais pas." On sait, mais on ne peut pas.
Le déni goldmanien n’est pas un mensonge, c’est une fidélité. Dans "Quand tu danses" (08), la formule "J’ai fait la liste de ce qu’on ne sera plus" précède l’obsession : "Mais que deviennent les amoureux perdus ?" La séparation est actée, mais l’esprit cherche un "après", un interstice. Goldman l’expliquera d’un trait lucide : "On sait ce qu’on ne sera plus, on ne sait pas trop ce que l’on va être, et pourtant, on va être." (09).
Dans "Les murailles" (10), il proclame : "Et j’avais fait des merveilles en bâtissant notre amour…" puis se résout à un déchirant constat : "Mais quand on aime, on a tort, on est stupide, on est sourd." Le déni prend ici la forme d’une forteresse contre le temps, qui s’effondre malgré tout. Sa lecture du réel est sans détour : "Un monde se termine alors qu’on a cru qu’il durerait toujours." (11). Et cette image obstinée du "toujours", il la relie aux illusions collectives comme aux amours individuelles : "Je suis persuadé que ceux qui travaillaient là se disaient que Barjol resterait le centre du monde de la tannerie. Même lorsque tu crois être avec quelqu’un pour toujours, tu y crois dur comme fer." (12).
Goldman ne chante donc pas "c’est pas vrai", il murmure "c’est pas juste". Son déni est un espace de résistance : tant que la pensée tourne autour de l’absence, le lien n’est pas mort.
3. La colère de l’injustice
La souffrance monte, mais au lieu d’exploser, elle implose. C’est une rage muette, retournée contre soi. On voudrait frapper le vide, accuser le ciel, mais rien ne répond. Les murs qu’on a bâtis tombent en silence.
Chez Goldman, la colère est une braise qui couve. Dans "Reprendre c’est voler" (13), l’amour perdu n’est pas réclamé : il est constaté. "On partage les choses quand on partage plus les rêves." Reprendre ce qui fut serait une trahison de soi. Interrogé sur l’impossibilité d’évoluer à deux, il admet que : _"c’est difficile." (14).
Dans "Les murailles", la même colère prend la forme d’un constat désarmé : "Moi j’avais cru si fort que ça durerait toujours." Puis cette phrase, à propos de "Quand tu danses" (15), tranchante comme un verdict : "Redevenir “rien après tant”, ce n’est pas juste." (16). C’est le scandale du survivant : l’intensité d’hier n’oblige pas le présent.
"Du vent, des mots" (17) déplace la tension dans le dialogue : "J’ai tant de regrets, tant de remords…" L’aveu final - "C’est du vent, des mots" - scelle la désillusion. La colère ne crie pas : elle s’éteint dans la lucidité.
4. La douleur de l’absence
Après le choc et la colère, vient la longue descente dans la réalité du vide. Le manque s’installe, s’assoit à table, dort dans le lit d’à côté. On ne souffre plus d’un accident, mais d’une respiration manquante. La douleur n’est plus crise : elle devient condition.
Dans "Il me restera" (18), tout est dit : il ne s’agit pas de ce qui s’est perdu, mais de ce qui subsiste. Des "bricoles", des silences, un peu de lumière. La survivance fait tenir debout. Goldman le dit sans emphase, alors qu’on apprendra, bien plus tard, que "Tu manques" évoque son père : "Ce n’est pas exceptionnel de souffrir de l’absence. Tout le monde à un moment souffre de l’absence de quelqu’un." (19). La douleur du manque n’a rien d’héroïque : elle est universelle, et c’est peut-être ce qui la rend si lourde.
Dans "L’absence" (20), "Les saisons ne sont plus que de passage." Le temps ne rythme plus rien. "Si tu revenais" (21) imagine la lumière qui reviendrait, mais demeure dans la grisaille de l’attente : "C’est comme si l’on ouvrait tous mes volets." Le manque devient une manière de vivre.
Goldman assume cette fidélité blessée : "Je pense qu’on ne guérit pas, et tant mieux. Ou alors, on guérit avec beaucoup de temps." (22). Ce "tant mieux" bouleverse : la cicatrice atteste l’amour. Et quand "J’en rêve encore" se fait obsession ("J’en rêve encore…"), c’est bien cette "idée qui ne veut pas se laisser abandonner" qui s’acharne (23). L’absence obstinée, c’est la pensée qui refuse de mourir.
5. La culpabilité du marchandage
À défaut de changer le passé, on le réécrit. On imagine ce qu’il aurait suffi de faire. Ou de ne pas faire. C’est un marchandage avec soi-même, une scénarisation du souvenir.
Dans "Je voudrais vous revoir" (24), le narrateur interroge : "Avons-nous bien vécu la même histoire ?" Derrière la curiosité, la crainte d’avoir mal aimé. Goldman éclairera le mouvement intime du texte : "À la fin, le gars dit que c’est lui qu’il veut revoir, finalement, quand il était jeune à travers le regard de cette femme." (25). Revoir l’autre pour se revoir soi, et tenter de se racheter.
Dans "Et tout recommencerait" (26), la méthode Coué devient refuge : "Cette fois j'en réponds, nous réussirons." Dans "Du vent, des mots", l’ultime promesse se sait déjà mensonge. Alors le marchandage se retourne en leçon : "Quand on aime, on a tort, on est stupide, on est sourd." Cécité de l’amour que Goldman traduit en clair : "C’est une erreur de penser qu’on est seul. La phrase erreur fondamentale, c’est “Nous, c’est pas pareil”." (27). Croire défier le temps : c’est magnifique, et c’est faux.
Il ajoute, clinique et tendre à la fois : "Ceux à qui c’est arrivé n’ont pas su assez bien décrypter ce que voulait l’autre." (28). La culpabilité n’est pas condamnation : c’est compréhension. Dernière façon d’aimer : sauver la beauté d’hier en imaginant un autre présent.
6. La résignation du réel
Vient un moment où l’on ne lutte plus. Non par lassitude morale, mais par sagesse triste. On renonce à comprendre. La perte devient un fait.
Dans "Quand tu danses", l’homme ne réclame plus : "Je crois bien que j’aurais besoin de te voir…" Il n’attend ni réponse ni retour, seulement d’exister encore dans le regard de l’autre. La chanson se referme sur un soupir sans appel : "Mais n’être plus rien après tant, c’est pas juste." Ce n’est plus une plainte : c’est un constat.
"Reprendre c’est voler" sanctifie l’amour dans sa perte : "On partage les choses quand on partage plus les rêves." Reprendre serait faute. "Les murailles" étend la leçon à l’échelle des mondes : ce qui semblait éternel s’effrite. Ici, plus de citations : seulement la neige des évidences. La résignation s’énonce sans fracas.
Dans la vie ordinaire, Goldman décrit le passage du deuil émotionnel au deuil social : "On va être dans le même monde, les mêmes rues, parfois les mêmes amis, les mêmes enfants. On trouve une espèce d’équilibre, de pacte de non-agression, de non-souffrance." (29). On apprend à cohabiter avec les fantômes. Les chansons, alors, suivent leur cours. Discrètement, elles décident de la forme que prend le silence.
7. Le pardon du temps
Il vient un jour où la mémoire cesse de faire mal. Elle devient tiède, enveloppante. Le deuil n’est plus une perte : c’est une reconnaissance de ce que l’amour a laissé en soi.
Cette étape s’appelle "Confidentiel". "Je voulais simplement te dire / Que ton visage et ton sourire / Resteront près de moi, sur mon chemin." C’est la phase du remerciement. Goldman en formule la clé : "Il faut vénérer ce qui a été vécu." (30). Ne pas nier ni effacer, mais honorer. "Je voudrais vous revoir" prolonge le geste : "Il est certaines blessures au goût de victoire." Reboire aux gestes, c’est choisir la fidélité intérieure.
"Autant avoir de la tendresse pour elle, pour ces années. C’est bien quand on peut encore." (31). Ce "quand on peut encore" dit la difficulté d’un pardon sans amnésie. "Je te promets" (32) métamorphose la séparation en parole tenue : "Plus jamais des adieux, rien que des au revoir." "Il me restera" scelle la preuve que rien n’a été vain : "Il me restera des souvenirs / Des visages et des voix et des rires."
Le souvenir n’est plus poison : il devient refuge.
8. La transmission
À ce stade, la perte n’est plus un gouffre : elle devient un passage. L’autre ne s’efface plus, il se diffuse. Le deuil s’élève, devient une spiritualité discrète, une conversation avec ceux qui ne sont plus.
"Vole" (33) en est l’icône : "Vole, vole petite flamme / Vole mon ange, mon âme." Non pas une rupture, mais une bénédiction. "Encore un soir" (34) tient l’instant entre deux mondes : "Une photo, une date / C'est à n'y pas croire / C'était pourtant hier." "En attendant ses pas" (35) propose une attente habitée : "En attendant juste un sens à tout ça, à tout ça." Écrite du vivant de René Angélil, la chanson prend après sa mort une dimension prophétique.
Goldman, pudique, formule sa foi laïque sans dogme : "Même la mort, éventuellement, c’est aussi le départ vers… au moins un mystère." (36). Refus de réduire la perte à la finitude. "Je t’aime encore" (37) met les mots de la mémoire vivante : "A chaque souffle / A chaque pas / Et je t'aime encore / Et toi tu ne m'entends pas...» La parole d’amour survit au corps de l’amour. Même quand l’autre n’est plus là pour répondre.
À ce stade, le deuil cesse d’être personnel. Goldman le dit de biais, par son métier : "J’ai l’impression d’être beaucoup plus journaliste dans ma démarche que psychanalyste." (38). Observer, recueillir, raconter. Transformer une douleur singulière en émotion commune. "Je me demande si le fait d’écrire des chansons n’est pas un peu de la sociologie." (39). Écrire, c’est transmettre. Les chansons poursuivent alors leur vie : "Ce sont les chansons qui décident." (40). Comme un au-delà discret.
9. L’éternité du lien
Dernière étape : le deuil se fait promesse. Non plus l’adieu, mais le serment tranquille de vivre "pour deux". L’autre est là dans la lumière, la mémoire, l’élan même de continuer. Ce n’est plus une douleur, c’est un feu.
Dans "Vole", le départ devient bénédiction : "Va retrouver la lumière." Dans "Je te promets", la parole donnée défie l’absence : "Plus jamais des adieux, rien que des au revoir." "Pas l’indifférence" (41) condense la morale : "Tout mais pas l'indifférence / Tout mais pas le temps qui meurt". Refuser l’effacement, choisir la présence, et les souvenirs.
Goldman ne cherche plus la permanence : il en reconnaît la chimère - et la beauté du présent. "Le fait de savoir que “toujours” est une vue de l’esprit, ça donne un petit peu plus de précieux à “maintenant”." (42). Il ajoute, sans tragédie : "Je ne trouve pas que ce soit une mauvaise nouvelle." (43). Et scelle la nature du lien restant : "L’affection, l’amitié." (44). Non plus l’amour romantique, mais l’élan d’humanité. La trace laissée par la rencontre.
Cette paix trouve un écho bouleversant dans les chansons écrites pour Céline Dion. Toutes l’ont été du vivant de René Angélil, et pourtant elles résonnent aujourd’hui comme un testament d’amour et de fidélité : "En attendant ses pas", "Je t’aime encore", "Je sais pas", "Encore un soir"… Comme un acompte sur l’éternité.
Le deuil goldmanien s’achève sur la paix : amour transformé, parole transmise, lien qui demeure. Non plus "adieu", mais "à plus tard".
Le chant qui continue
À travers ses chansons et ses propos, Jean-Jacques Goldman compose une grammaire émotionnelle du deuil - non seulement au sens de la mort, mais de toute séparation, de tout passage. Ce n’est pas une trajectoire linéaire, mais une respiration : chaque chanson a son tempo, comme un battement de cœur. Ses chansons ne pleurent pas : elles accompagnent. Elles ne ferment pas : elles ouvrent.
Chez Jean-Jacques Goldman, le deuil n’est pas une traversée, mais une composition. Il ne s’agit pas de "faire son deuil" comme on tournerait une page, mais de continuer à l’écrire autrement. Chaque perte devient une modulation de la vie, une variation sur un même thème : aimer malgré tout, aimer encore.
Le deuil goldmanien n’est pas un cri, c’est un murmure. Il n’est pas un gouffre, c’est un sillage. Il ne s’oppose pas à la vie, il en est la preuve. La douleur ne s’y efface pas ; elle se transforme, comme la note grave qui fait vibrer l’accord. "Je voulais simplement te dire que ton visage et ton sourire / Resteront près de moi, sur mon chemin." (45). Tout est là : la perte, la gratitude, la fidélité silencieuse.
Cette vision n’a rien de funèbre : elle épouse la courbe du temps, accepte la fragilité, accueille la lumière, même dans l’absence.
Le deuil, chez Jean-Jacques Goldman, n’est donc pas une fin : c’est une forme de fidélité au vivant. Il se conjugue au présent, dans la mémoire active, dans le chant qui continue. Peut-être que le deuil ne se traverse pas ; il se compose, comme une chanson dont on ne retient pas toujours les paroles, mais qui reste, longtemps, au creux du cœur.
Sources
- (01) Jean-Jacques Goldman : Tu manques (1990)
- (02) Gérald de Palmas : J'en rêve encore (2000)
- (03) Plus vite que la musique (M6, 17 février 2001)
- (04) Christophe Willem : Après toi (2014)
- (05) Jean-Jacques Goldman : Pas toi (1985)
- (06) Rencontre avec Jean-Jacques Goldman (Vibration, le 9 avril 1998, propos recueillis par Jérôme)
- (07) Céline Dion : Je sais pas (1995)
- (08) Jean-Jacques Goldman : Quand tu danses (1997)
- (09) Jean-Jacques Goldman, flâneur sur la Terre (Gaël, 24 septembre 1997)
- (10) Jean-Jacques Goldman : Les murailles (1997)
- (11) Quelques mots "en passant" (L'Est Republicain, septembre 1997, propos recueillis par Jean-Paul Germonville)
- (12) Livre de partitions : "En passant" (Hit Diffusion, 6 janvier 2009, propos recueillis par Paul Ferrette)
- (13) Jean-Jacques Goldman : Reprendre c'est voler (1987)
- (14) Graffiti (1987)
- (15) Jean-Jacques Goldman : Quand tu danses (1997)
- (16) Jean-Jacques Goldman sait enfin dire "je t'aime" (Télé Magazine n° 2189, 24 octobre 1997)
- (17) Garou et Charlotte Cardin-Goyer : Du vent, des mots (2013)
- (18) Jean-Jacques Goldman : Il me restera (1987)
- (19) Cassette audio, coffret "Fredericks-Goldman-Jones", novembre 1990, propos recueillis par Philippe Robin)
- (20) Rose Laurens : L'absence (1990)
- (21) Patrick Fiori : Si tu revenais (2002)
- (22) Jean-Jacques Goldman, flâneur sur la Terre (Gaël, 24 septembre 1997)
- (23) Plus vite que la musique (M6, 17 février 2001)
- (24) Jean-Jacques Goldman : Je voudrais vous revoir (2001)
- (25) Rencontre avec Jean-Jacques Goldman (Radio Maguelone, 17 avril 2002, propos recueillis par Géraldine et Damien)
- (26) Emile et Images : Et tout recommencerait (2003)
- (27) Jean-Jacques Goldman : L'interview (Générations, le 15 mai 1998, propos recueillis par Pierre Chatard)
- (28) Jean-Jacques Goldman, flâneur sur la Terre (Gaël, 24 septembre 1997)
- (29) Jean-Jacques Goldman, flâneur sur la Terre (Gaël, 24 septembre 1997)
- (30) Rencontre avec Jean-Jacques Goldman (Radio Maguelone, 17 avril 2002, propos recueillis par Géraldine et Damien)
- (31) Jean-Jacques Goldman, flâneur sur la Terre (Gaël, 24 septembre 1997)
- (32) Johnny Hallyday : Je te promets (1986)
- (33) Céline Dion : Vole (1995)
- (34) Céline Dion : Encore un soir (2016)
- (35) Céline Dion : En attendant ses pas (1998)
- (36) Explication de "Puisque tu pars" (Europe 2, septembre 1997)
- (37) Céline Dion : Je t'aime encore (2003)
- (38) Rencontre avec Jean-Jacques Goldman (L'Arche n° 535, septembre 2002, propos recueillis par Raphaël Toledano)
- (39) Rencontre avec Jean-Jacques Goldman (Vibration, le 9 avril 1998, propos recueillis par Jérôme)
- (40) Rencontre avec Jean-Jacques Goldman (Vibration, le 9 avril 1998, propos recueillis par Jérôme)
- (41) Jean-Jacques Goldman : Pas l'indifférence (1981)
- (42) Jean-Jacques Goldman : "Forcément je tourne en rond" (Le Figaro, 29 septembre 1997)
- (43) Jean-Jacques Goldman : "Forcément je tourne en rond" (Le Figaro, 29 septembre 1997)
- (44) Jean-Jacques Goldman : "Forcément je tourne en rond" (Le Figaro, 29 septembre 1997)
- (45) Jean-Jacques Goldman : Confidentiel (1985)